➡️ Le 18 mai un Conseil municipal a enfin pu se tenir à Bezons, suite à nos réclamations répétées et notre exigence de voir appliquer la Loi.
Cette réunion s’est tenue dans des conditions qui interrogent sur la volonté du maire actuellement prolongé, d’associer réellement l’ensemble des conseiller.e .s à la gestion municipale.
En effet, ce conseil s’est tenu par téléphone !
Comme si il était impossible d’organiser une réunion physique dans des conditions respectueuses des consignes sanitaires, voire une réunion par visioconférence comme cela se pratique dans de nombreuses collectivités, entreprises ou associations.
Utiliser une méthode aussi archaïque ne peut avoir que trois raisons :
1️⃣ Dominique LESPARRE ignore les moyens modernes de communication et de partage d’informations. C’est inquiétant pour faire de Bezons une « Ville d’Avenir ».
2️⃣ Dominique LESPARRE n’a pas confiance dans la qualité et la fiabilité des réseaux numériques sur la ville. En cela nous ne pouvons que lui donner raison et constater que les Bezonnais .e.s paient très cher le mauvais déploiement de la fibre. A l’heure où le télétravail va se développer ce retard est préjudiciable aux salarié.e.s et aux entreprises locales.
3️⃣ Dominique LESPARRE a peur de la démocratie directe, de la confrontation d’idées, de l’échange et de la participation. Alors que l’heure est au rassemblement des bonnes volontés cette attitude de renfermement sur soi autour d’un petit clan minoritaire, est typique d’un autre temps, d’une autre époque, d’un autre siècle.
Il faut déconfiner la démocratie communale, ouvrir les portes et les fenêtres de la Mairie et qu’un nouveau souffle fasse respirer notre ville.
Nous pouvons toutes et tous avoir des approches, des visions, des propositions différentes, nous devons impérativement avoir une seule convergence : celle du rassemblement des talents au service des Bezonnais .e .s et du vivre ensemble qui permettra de construire, ensemble, un « Avenir de Bezons en Commun » .
Cette volonté, Dominique LESPARRE ne l’a plus depuis longtemps et il porte seul la responsabilité de son isolement.